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  • demainlacote.ch Agir ensemble rend heureux !

    Depuis novembre 2016, Demain la Côte, un collectif basé sur le district de Nyon, rassemble des citoyens de tous horizons, en s’inspirant du film documentaire "Demain" de Mélanie Laurent et Cyril Dion.

    Son objectif est de promouvoir le mouvement de la transition, en réconciliant l’humain et son environnement.

    La conférence du 17 mars 2020 de Grégory Derville et modérée par Valérie Mausner-Léger est désormais organisée en chapitres disponibles dans la description de la vidéo sur youtube. Un résumé de quelques pages et les slides sont disponibles. Après avoir vu cette conférence, nous vous serions reconnaissants si vous pouviez prendre 5 minutes pour répondre à ce sondage.

    Si vous souhaitez les rejoindre ou les soutenir financièrement pour l’organisation de cette conférence, vous pouvez vous rendre sur la page Contact. L’équipe vous remercie de votre précieux soutien et de votre générosité!

     

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  • Un site ressource : nicetransition.org : Des centaines d’initiatives favorisant la transition écologique vers une société durable. 

    Prouvons que les solutions existent!

    NiceTransition - changer d'èreNous allons vivre un changement radical à l’échelle globale dans les années à venir. Nous pouvons avoir peur, nous replier sur nous-mêmes et espérer le retour du «bon vieux temps», mais la marche des flux de la mondialisation et de la technologie nous enseigne que cette perspective est impossible.

    La voie que nous voulons suivre est celle de l’innovation, de nouvelles formes de partage, d’une véritable intelligence collective. Nous opposons l’empathie au repli, rendant l’humanité si désirable. Voilà pourquoi nous voulons, avec vous, faire de NiceFuture (association porteuse de ce projet) un laboratoire, un découvreur, un valorisateur de talents, un accélérateur de changements. Entrons de plain-pied dans l’âge de l’action, en testant localement des innovations, en dupliquant des expériences éprouvées ailleurs, en exportant ce que nous ferons naître ici.

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  • Texte poignant de Coline Serreau qui ne mâche pas ses mots...Dimanche 22 mars 2020. Coline Serreau, réalisatrice de Trois hommes et un couffin, mais aussi de films visionnaires, écolos, humanistes et généreux comme La belle verte ou La crise

    LE MONDE QUI MARCHAIT SUR LA TÊTE EST EN TRAIN DE REMETTRE SES IDÉES A L’ENDROIT par Coline Serreau 

    Le gouvernement gère l'épidémie comme il peut… mais les postures guerrières sont souvent inefficaces en face des forces de la nature. Les virus sont des êtres puissants, capables de modifier notre génome, traitons-les sinon avec respect, du moins avec modestie.  

    Apprenons à survivre parmi eux, à s'en protéger en faisant vivre l'espèce humaine dans des conditions sanitaires optimales qui renforcent son immunité et lui donnent le pouvoir d'affronter sans dommage les microbes et virus dont nous sommes de toute façon entourés massivement, car nous vivons dans la grande soupe cosmique où tout le monde doit avoir sa place.

    La guerre contre les virus sera toujours perdue, mais l'équilibre entre nos vies et la leur peut être gagné si nous renforçons notre système immunitaire par un mode de vie non mortifère. Dans cette crise, ce qui est stupéfiant c’est la rapidité avec laquelle l'intelligence collective et populaire se manifeste. 

    En quelques jours, les français ont établi des rites de remerciement massivement suivis, un des plus beaux gestes politiques que la France ait connus et qui prolonge les grèves contre la réforme des retraites et l'action des gilets jaunes en criant haut et fort qui et quoi sont importants dans nos vies.

    Dans notre pays, ceux qui assurent les fonctions essentielles, celles qui font tenir debout une société sont sous-payés, méprisés. Les aides-soignantes, les infirmières et infirmiers, les médecins qui travaillent dans les hôpitaux publics, le personnel des écoles, les instituteurs, les professeurs, les chercheurs, touchent des salaires de misère tandis que des jeunes crétins arrogants sont payés des millions d'euros par mois pour mettre un ballon dans un filet.

    Dans notre monde le mot paysan est une insulte, mais des gens qui se nomment "exploitants agricoles" reçoivent des centaines de milliers d'euros pour faire mourir notre terre, nos corps et notre environnement tandis que l'industrie chimique prospère. Et voilà que le petit virus remet les pendules à l'heure, voilà qu'aux fenêtres, un peuple confiné hurle son respect, son amour, sa reconnaissance pour les vrais soldats de notre époque, ceux qui sont prêts à donner leur vie pour sauver la nôtre alors que depuis des décennies les gouvernements successifs se sont acharnés à démanteler nos systèmes de santé et d'éducation, alors que les lobbies règnent en maîtres et arrosent les politiques avec le fric de la corruption. 

    Nous manquons d'argent pour équiper nos hôpitaux, mais bon sang, prenons l'argent où il se trouve, que les GAFA payent leurs impôts, qu'ils reversent à la société au minimum la moitié de leurs revenus. Car après tout, comment l'ont-ils gagné cet argent ? Ils l'ont gagné parce qu'il y a des peuples qui forment des nations, équipées de rues, d'autoroutes, de trains, d'égouts, d'électricité, d'eau courante, d'écoles, d'hôpitaux, de stades, et j'en passe, parce que la collectivité a payé tout cela de ses deniers, et c’est grâce à toutes ces infrastructures que ces entreprises peuvent faire des profits. Donc ils doivent payer leurs impôts et rendre aux peuples ce qui leur est dû. 

    Il faudra probablement aussi revoir la question de la dette qui nous ruine en enrichissant les marchés financiers. Au cours des siècles passés les rois de France ont très régulièrement décidé d'annuler la dette publique, de remettre les compteurs à zéro. Je ne vois pas comment à la sortie de cette crise, quand les comptes en banque des petites gens seront vides, quand les entreprises ne pourront plus payer leurs employés qui ne pourront plus payer les loyers, l'électricité, le gaz, la nourriture, comment le gouvernement pourra continuer à gaspiller 90% de son budget à rembourser une dette qui ne profite qu'aux banquiers. J'espère que le peuple se lèvera et réclamera son dû, à savoir exigera que la richesse de la France, produite par le peuple soit redistribuée au peuple et non pas à la finance internationale.

    Et si les autres pays font aussi défaut de leur dette envers nous, il faudra relocaliser, produire de nouveau chez nous, se contenter de nos ressources, qui sont immenses, et détricoter une partie de la mondialisation qui n'a fait que nous appauvrir. Et le peuple l'a si bien compris qu'il crie tous les soirs son respect pour ceux qui soignent, pour la fonction soignante, celle des mères, des femmes et des hommes qui font passer l'humain avant le fric. 

    Ne nous y trompons pas, il n'y aura pas de retour en arrière après cette crise. Parce que malgré cette souffrance, malgré ces deuils terribles qui frappent tant de familles, malgré ce confinement dont les plus pauvres d'entre nous payent le plus lourd tribut, à savoir les jeunes, les personnes âgées isolées ou confinées dans les EHPAD, les familles nombreuses, coincés qu'ils sont en ville, souvent dans de toutes petites surfaces, malgré tout cela, le monde qui marchait sur la tête est en train de remettre ses idées à l'endroit. 

    Où sont les vraies valeurs ? Qu'est-ce qui est important dans nos vies ? Vivre virtuellement ? Manger des produits issus d'une terre martyrisée et qui empoisonnent nos corps ? Enrichir par notre travail ceux qui se prennent des bonus faramineux en gérant les licenciements ? Encaisser la violence sociale de ceux qui n'ont eu de cesse d'appauvrir le système de soin et nous donnent maintenant des leçons de solidarité ? Subir une médecine uniquement occupée à soigner les symptômes sans se soucier de prévention, qui bourre les gens de médicaments qui les tuent autant ou plus qu'ils ne les soignent ? Une médecine aux ordres des laboratoires pharmaceutiques ? Alors que la seule médicine valable, c’est celle qui s'occupe de l'environnement sain des humains, qui proscrit tous les poisons, même s'ils rapportent gros.

    Pourquoi croyez-vous que ce virus qui atteint les poumons prospère si bien ? Parce que nos poumons sont malades de la pollution et que leur faiblesse offre un magnifique garde-manger aux virus. En agriculture, plus on cultive intensivement sur des dizaines d'hectares des plantes transformées génétiquement ou hybrides dans des terres malades, plus les prédateurs, ou pestes, les attaquent et s'en régalent, et plus il faut les arroser de pesticides pour qu'elles survivent, c’est un cercle vicieux qui ne peut mener qu'à des catastrophes. Mais ne vous faites pas d'illusions, on traite les humains les plus humbles de la même façon que les plantes et les animaux martyrisés. 

    Dans les grandes métropoles du monde entier, plus les gens sont entassés, mal nourris, respirent un air vicié qui affaiblit leurs poumons, plus les virus et autres "pestes" seront à l'aise et attaqueront leur point faible : leur système respiratoire. Cette épidémie, si l'on a l'intelligence d'en analyser l'origine et la manière de la contrer par la prévention plutôt que par le seul vaccin, pourrait faire comprendre aux politiques et surtout aux populations que seuls une alimentation et un environnement sains permettront de se défendre efficacement et à long terme contre les virus. 

    Le confinement a aussi des conséquences mentales et sociétales importantes pour nous tous, soudain un certain nombre de choses que nous pensions vitales se révèlent futiles. Acheter toutes sortes d'objets, de vêtements, est impossible et cette impossibilité devient un bonus : d'abord en achetant moins on devient riches. Et comme on ne perd plus de temps en transports harassants et polluants, soudain on comprend combien ces transports nous détruisaient, combien l'entassement nous rendait agressifs, combien la haine et la méfiance dont on se blindait pour se préserver un vague espace vital, nous faisait du mal. On prend le temps de cuisiner au lieu de se gaver de junk-food, on se parle, on s'envoie des messages qui rivalisent de créativité et d'humour. Le télétravail se développe à toute vitesse, il permettra plus tard à un nombre croissant de gens de vivre et de travailler à la campagne, les mégapoles pourront se désengorger. 

    Pour ce qui est de la culture, les peuples nous enseignent des leçons magnifiques : la culture n'est ni un vecteur de vente, ni une usine à profits, ni la propriété d'une élite qui affirme sa supériorité, la culture est ce qui nous rassemble, nous console, nous permet de vivre et de partager nos émotions avec les autres humains. Quoi de pire qu'un confinement pour communiquer ? Et pourtant les italiens chantent aux balcons, on a vu des policiers offrir des sérénades à des villageois pour les réconforter, à Paris des rues entières organisent des concerts du soir, des lectures de poèmes, des manifestations de gratitude, c’est cela la vraie culture, la belle, la grande culture dont le monde a besoin, juste des voix qui chantent pour juguler la solitude. 

    C’est le contraire de la culture des officines gouvernementales qui ne se sont jamais préoccupées d'assouvir les besoins des populations, de leur offrir ce dont elles ont réellement besoin pour vivre, mais n'ont eu de cesse de conforter les élites, de mépriser toute manifestation culturelle qui plairait au bas peuple. En ce sens, l'annulation du festival de Cannes est une super bonne nouvelle. Après l'explosion en plein vol des Césars manipulés depuis des années par une mafia au fonctionnement opaque et antidémocratique, après les scandales des abus sexuels dans le cinéma, dont seulement une infime partie a été dévoilée, le festival de Cannes va lui aussi devoir faire des révisions déchirantes et se réinventer. Ce festival de Cannes qui déconne, ou festival des connes complices d'un système rongé par la phallocratie, par la corruption de l'industrie du luxe, où l'on expose complaisamment de la chair fraîche piquée sur des échasses, pauvres femmes porte-manteaux manipulées par les marques, humiliées, angoissées à l’idée de ne pas assez plaire aux vieillards aux bras desquels elles sont accrochées comme des trophées, ce festival, mais venez-y en jeans troués et en baskets les filles, car c’est votre talent, vos qualités d'artiste qu'il faut y célébrer et non pas faire la course à qui sera la plus à poil, la plus pute ! Si les manifestations si généreuses, si émouvantes des peuples confinés pouvaient avoir une influence sur le futur de la culture ce serait un beau rêve ! 

    Pour terminer, je voudrais adresser une parole de compassion aux nombreux malades et à leurs proches, et leur dire que du fin fond de nos maisons ou appartements, enfermés que nous sommes, nous ne cessons de penser à eux et de leur souhaiter de se rétablir. Je ne suis pas croyante, les prières m'ont toujours fait rire, mais voilà que je me prends à prier pour que tous ces gens guérissent. Cette prière ne remplacera jamais les soins de l'hôpital, le dévouement héroïque des soignants et une politique sanitaire digne de ce nom, mais c’est tout ce que je peux faire, alors je le fais, en espérant que les ondes transporteront mon message, nos messages, d'amour et d'espoir à ceux qui en ont besoin.

    Coline Serreau

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  • Bulle - La Tour-de-Trême - Tioleire

    Bulle | mar, 19 mai. 2015 | copié/collé de La Gruyère
    La clairière de La Tioleire en parc agricole urbain: le projet a été présenté hier soir en séance du Conseil général de Bulle. Pour les conseillers généraux à l'origine de l'initiative, le site doit conserver son caractère paysager et naturel et n'accueillir aucune construction.

    Par François Pharisa
    Sauvegarder un morceau de l’histoire agricole du chef-lieu gruérien et éviter une Toula bis. C’est en substance l’ambition poursuivie par le projet de parc agricole urbain sur la plaine de La Tioleire (lire ci-dessous), entre Bouleyres et la Trême. Il a été dévoilé hier soir lors du Conseil général, en même temps que les conclusions de la task force dévolue à l’aménagement du territoire (celles-ci seront approfondies dans La Gruyère de jeudi). A l’heure où ces lignes sont mises sous presse, ces conclusions ne sont pas encore connues. Mais, apparemment, elles ne contrediraient pas le nouveau projet de La Tioleire.

    La transmission du projet au Conseil communal, présenté sous la forme d’un postulat cosigné par plus de quarante conseillers généraux, devait être soumise hier soir au vote de l’assemblée. En cas de scrutin positif – attendu – la réponse de l’Exécutif est espérée d’ici la fin de l’année, histoire d’éviter le temps de latence que les élections communales de février 2016 induiront forcément.

    Le mandat d’études parallèles (MEP) de la zone sportive de Bouleyres, présenté en mars 2014 – et de retour depuis sur les bureaux du Conseil communal pour reconsidération – a servi de catalyseur. Partie intégrante de ce MEP, la vaste clairière de La Tioleire devait accueillir le centre équestre (lire encadré). Un groupe de six citoyens s’organise alors, dans le but de pérenniser le caractère paysager et naturel du site.

    On y retrouve les trois conseillers généraux Sébastien Lauper (ps), ingénieur en gestion de la nature, Auguste Dupasquier (plr), agriculteur, et Frank Aellen (pdc), horticulteur-paysagiste, ainsi que Grégoire Dewarrat, enseignant, Jérôme Gremaud, biologiste, et Jean-Yves Pauchard, architecte du paysage.

    «Nous souhaitons fédérer autour de ce projet la base citoyenne la plus large possible, explique Sébastien Lauper. Les six agriculteurs directement concernés ont été informés, la commission d’aménagement, dont Auguste et moi faisons partie, y est largement favorable et tous les conseillers généraux présents lundi dernier en séance de groupe l’ont approuvé. Si on ne parvient pas à concrétiser ce projet, c’est qu’il y a un sérieux problème constitutionnel à Bulle.» Nicolas Pasquier, coprésident de l’Association pour la défense des espaces verts, joint hier par téléphone, perçoit également l’initiative d’un bon œil.

    Idéalement situé
    «Coincée entre la forêt de Bouleyres et la Trême, La Tioleire est l’endroit idoine pour ce projet», justifie Jérôme Gremaud. Frank Aellen renchérit: «Le site est l’un des derniers morceaux de l’histoire agricole de la ville. Il est impératif de le mettre en valeur sans dénaturer ses caractéristiques agricoles et paysagères.» Vaste d’environ seize hectares, le nouveau parc se baserait sur trois axes: agriculture, biodiversité et accueil du public. Sa gestion serait confiée à une association qu’un ou deux agriculteurs louant actuellement à la commune une partie du terrain intégreraient. Les écoles et les citoyens pourraient également être associés à son entretien.

    Coût et financement
    Quid de la facture? Ainsi que le révèle la brochure de synthèse (d’où est tirée la carte ci-dessous), ce projet est estimé à environ 275000 francs. La commune s’acquitterait d’une somme de 100000 francs pour l’aménagement des espaces d’accueil et du belvédère, le solde devant être financé par du bénévolat et par les activités agricoles ayant cours sur le site. «On peut vendre les fruits du verger, en louer les arbres, voire les parrainer», illustre Sébastien Lauper, qui précise qu’un parc similaire remporte un franc succès à Zofingue (AG).

    En cas d’acceptation par la ville, cet automne ou dans le courant de l’année prochaine, une association sera créée pour mener à bien le projet. «Il est important d’agir dès maintenant, insiste Auguste Dupasquier. Nous savons comment de tels espaces finissent si nous ne nous mobilisons pas.»

    Un verger de 120 arbres
    «La Tioleire vous permettra d’oublier que vous êtes en pleine ville», souligne la brochure explicative créée par les instigateurs du projet de parc agricole urbain à La Tioleire. Pour ce faire, un verger haute-tige de 120 arbres, occupant le centre de la plaine, et une prairie fleurie sont prévus. «La plantation des 120 arbres se répartirait sur dix ans, explique Frank Aellen, conseiller général et horticulteur-paysagiste. En attendant que ceux-ci donnent leurs premiers fruits, le petit verger existant serait redynamisé. On pourrait également imaginer planter des arbres demi-tige, qui permettent une production plus rapide.» Le public et les écoles participeraient aux récoltes. Celles-ci seraient principalement destinées aux établissements scolaires et aux homes de la commune.

    Diverses variétés d’arbres fruitiers locaux seraient privilégiées, contribuant ainsi au maintien de la biodiversité. Une haie, regroupant des buissons de différentes espèces indigènes, épouserait les contours de la clairière. En bordure de Bouleyres, une lisière étagée, offrant un habitat à diverses espèces animales et végétales, adoucirait la transition entre la forêt et la plaine.

    «Un lieu de rencontre»
    «La Tioleire se voudrait en outre un lieu de rencontre», ajoute Sébastien Lauper. Des espa-ces d’accueil, incluant une place de pique-nique, des bancs et des jeux pour les enfants, seraient aménagés. Enfin, un sentier didactique sur la thématique de l’agriculture et de la nature verrait le jour.

    «On ne veut pas d’une halle»
    Le mandat d’études parallèles (MEP) de la zone sportive de Bouleyres, présenté au Conseil général le printemps dernier puis dénoncé en décembre par ce même Législatif, prévoit le déménagement à La Tioleire du centre équestre, actuellement situé à côté du skatepark. Sous réserve des conclusions de la task force rendues hier soir, un manège couvert et un autre, extérieur, étaient envisagés. «Nous ne voulons pas d’une immense halle et de places de parc au milieu de la clairière», lâche Auguste Dupasquier. Le conseiller général libéral-radical poursuit: «L’impact visuel d’une telle bâtisse serait désastreux et dénaturerait le paysage. En outre, l’accès au site, nécessitant la transformation d’un pont sur la Trême, ne manquerait pas de poser de gros problèmes.» Les partisans du parc agricole urbain de La Tioleire assurent cependant d’une seule voix avoir lancé ce projet non pas pour bloquer l’avancée du centre équestre mais bien pour préserver de manière pérenne le caractère agricole et naturel de la clairière.

    Plus: Bulle - Développement de Bulle - Politique Gruyère
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