• Explications du projet sur le site ge.ch

    COURT-MÉTRAGE DE MICHEL FAVRE, Vidéo par Michel Favre
    Ce court-métrage conçu par le cinéaste Michel Favre a été projeté à l'espace Archizoom de l'école polytechnique de Lausanne (EPFL) en octobre 2014, dans le cadre du symposium "The Narrative of Landscape" et de l'exposition La renaturation de l'Aire.

    Le projet de renaturation de l’Aire est l’ossature d’une réorganisation territoriale et paysagère de toute la plaine de l’Aire. C’est à partir du cours d’eau que sont établis de nouveaux rapports qui équilibrent, d’une part, les besoins de production agricole, de développement urbain et d’espaces de loisirs et, d’autre part, la nécessité de reconstituer des milieux naturels étendus. Le projet consiste en une véritable «restauration» du territoire, puisqu'il reconstruit des dispositifs paysagers - fossés, haies, bosquets, marais - presque entièrement disparus, mais bien lisibles sur les documents historiques. Dans le périmètre réservé aux milieux naturels (bande d’environ 80 mètres longeant le canal), les terres ouvertes cultivées intensivement sont remplacées par des milieux diversifiés permettant la constitution d’un véritable couloir écologique qui favorise la mise en réseau des biotopes et le déplacement de la petite faune... la suite

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  • Copié/collé de www.wedemain.fr - Par  I Publié le 12 Octobre 2018

    Poêle de masse, chauffage solaire, phytoépuration... Avec ces douze low-tech autoconstructibles, vous aurez un habitat autonome et réduirez par quatre votre impact environnemental ! Découvrez-les à l'occasion de l'exposition "En quête d'un habitat durable", organisée par le Low-Tech Lab, à Paris jusqu'au 28 octobre.

    Découvrez l’exposition "En quête d’un Habitat durable" du 8 au 20 octobre dans la serre du Parc André Citroën à Paris. (Crédit : Sofia Colla / We Demain)

    Découvrez l’exposition "En quête d’un Habitat durable" du 8 au 20 octobre dans la serre du Parc André Citroën à Paris. (Crédit : Sofia Colla / We Demain)Autoproduire son énergie, son eau potable, sa nourriture… Et en plus fabriquer toutes les machines nécessaires vous-même et pour pas cher ! C’est ce que propose le Low-Tech Lab. Un projet associatif français qui cherche à faire connaitre les "low tech", des technologies accessibles à tous aussi bien techniquement qu'économiquement. Et qui donnent la part belle aux matériaux de récupération... 

    Pendant un an, le Low-Tech Lab a réalisé un tour de France pour aller à la rencontre de bricoleurs qui ont imaginé des solutions écologiques pour leurs besoins du quotidien. Ils ont réuni 12 technologies open source dans l’exposition "En quête d’un habitat durable", jusqu'au 28 octobre à Paris. "Tous les tutoriels sont en ligne, avec une notice pas à pas. Le niveau de difficulté est indiqué", précise Camille Duband du Low-Tech Lab. 
      
    Selon eux, ces 12 inventions réunies permettent de réduire par quatre l’impact environnemental de l’habitat ! L’objectif est ensuite, au début de l’année 2019, d’installer ces low-tech dans une tiny house afin de les tester au quotidien et de les optimiser pendant quatre mois. Ensuite, cette tiny house sera disponible à la location.  

    DANS LA CUISINE

    Le biodigesteur : Construit à partir d’un bidon, le biodigesteur permet de produire son gaz naturel, qui peut alimenter une cuisinière traditionnelle, à partir de ses déchets organiques. Bonus : le biodigesteur produit également du fertilisant ! 

    "Pour cette technologie, il y a une petite attention à avoir quant à l’étanchéité. Il faut régulièrement le nourrir. C’est un système un peu plus complexe que les autres, mais le fonctionnement n’est pas compliqué non plus", précise Camille Duband du Low-Tech lab.

         Le biodigesteur. (Crédit : Sofia Colla / We Demain)Le biodigesteur. (Crédit : Sofia Colla / We Demain) 

    La lactofermentation : Cette technique de conservation utilise des bactéries et permet de garder ses légumes pendant plusieurs mois, voire plusieurs années. En plus, les légumes lactofermentés contiennent autant, voire plus de vitamines que les légumes crus !  
     Lactofermentation. (Crédit : Sofia Colla / We Demain)Lactofermentation. (Crédit : Sofia Colla / We Demain) 

    La culture de spiruline : Cette micro-algue, riche en protéines, en vitamines et en fer, se vend cher dans le commerce. Pourtant, elle est plutôt simple à cultiver ! Son rendement est très élevé : sur un même espace, la spiruline produit cent fois plus de protéines qu’un élevage bovin. Et, tandis qu’environ 13 500 litres d’eau sont nécessaires pour produire 1 kg de viande bovine, seuls 2 500 litres suffisent à la micro-algue. 

    La culture de spiruline. (Crédit : Sofia Colla / We Demain)La culture de spiruline. (Crédit : Sofia Colla / We Demain) 

    Le bokashi : Il s’agit d’une méthode de compostage japonaise, très simple à réaliser, et qui ne nécessite pas beaucoup d’espace. "Un bokashi, c’est deux pots l’un dans l’autre avec un robinet, donc ça c’est vraiment accessible à tous", ajoute Camille. 
      
    Il peut tout à fait être adopté dans un appartement en ville : il est fermé, ne sent pas et le processus étant rapide le bac peut être de petite taille. Ce système vous permet d’avoir un jus très nutritif pour les plantes et un compost riche en minéraux. 

    Le bokashi. (Crédit : Sofia Colla / We Demain)Le bokashi. (Crédit : Sofia Colla / We Demain) 

    LA SALLE DE BAIN

    La douche à recyclage : Ce système permet de filtrer et de réutiliser instantanément l’eau de la douche. Résultat : des douches chaudes illimitées pour une faible consommation d’eau ! 
      
    En plus, il n’est vraiment pas couteux : "La seule chose que nous avons acheté neuf pour cette douche, c’est le bois, les filtres et le bac de douche. Le reste, c’est de la récup’, dans les bennes ou sur Le Bon Coin. En tout, on en a eu pour une cinquantaine d’euros. Mais il est tout à fait possible de garder sa douche et d’installer le système dessus", raconte Camille. 
     La douche à recyclage. (Crédit : Sofia Colla / We Demain)La douche à recyclage. (Crédit : Sofia Colla / We Demain) 

    Le chauffe-eau solaire : Pour chauffer l’eau, vous n’aurez plus besoin d’électricité mais uniquement du soleil. L’énergie du soleil est captée grâce à un panneau thermique, fabriqué à partir d’anciens tuyaux de réfrigérateurs usagés reliés à un ballon et une pompe. 
      
    La puissance du panneau thermique est importante : pour un couple, 90 % des besoins en eau chaude à l’année peuvent être couverts par seulement 3 ou 4 m2 de panneaux ! 

    Le chauffe-eau solaire. (Crédit : Sofia Colla / We Demain)Le chauffe-eau solaire. (Crédit : Sofia Colla / We Demain) 

    Les toilettes sèches : Les toilettes sèches permettent de faire des économies d’eau assez importantes, sachant qu’en moyenne, ce sont 9 litres d’eau (potable) qui sont évacués à chaque chasse ! De plus, c’est un moyen de transformer les excréments humains en une ressource, et non en déchet, en les compostant. 

    Les toilettes sèches. (Crédit : Sofia Colla / We Demain)Les toilettes sèches. (Crédit : Sofia Colla / We Demain) 

    La phytoépuration : Il s’agit de la solution d’assainissement de l’eau la plus écologique. En effet, les eaux grises sont filtrées grâce à des végétaux, notamment par des roseaux, et du substrat. Contrairement à d’autres systèmes d’assainissement comme les fosses septiques ou les stations d’épuration, la phytoépuration ne demande aucun entretien complexe et est entièrement autonome énergétiquement. 

    La phytoépuration. (Crédit : Sofia Colla / We Demain)La phytoépuration. (Crédit : Sofia Colla / We Demain) 

    L’ÉNERGIE

    L’Éolienne Piggott : Cette petite éolienne est placée en haut d’un mât pour prendre le plus de vent possible. Elle peut être autoconstruite à 100 %. Elle répondra à de faibles besoins en électricité comme l’éclairage LED ou le chargement d’un ordinateur portable. Il s’agit d’une solution idéale pour les zones hors-réseau afin d'atteindre l’autonomie énergétique. 

    L’Éolienne Piggott. (Crédit : Sofia Colla / We Demain)L’Éolienne Piggott. (Crédit : Sofia Colla / We Demain) 

    Le Poelito : Ce poêle de masse peut chauffer pendant 12 à 24 heures avec seulement 2 heures de feu ! Ce qui permet de chauffer son intérieur avec une faible quantité de bois. C’est grâce à sa masse que la chaleur peut être stockée. Généralement, les poêles à masse, ou à accumulation, font partir intégrante de la structure de la maison. Contrairement au Poelito qui est mobile. 
     Le poêle de masse. (Crédit : Sofia Colla / We Demain)Le poêle de masse. (Crédit : Sofia Colla / We Demain) 

    Le chauffage solaire : Avec ce système de chauffage passif, il est facilement possible de gagner 7 degrés dans sa maison. Il s’agit d’un grand panneau d’ardoise entre deux plaques transparentes. Ce panneau concentre la chaleur du soleil. En hiver, l’air froid est capté en bas du panneau puis restitué en haut, chaud.

    Le chauffage solaire. (Crédit : Sofia Colla / We Demain)Le chauffage solaire. (Crédit : Sofia Colla / We Demain) 

    Le vélo générateur : Plutôt que d’aller à la salle de sport, pédalez chez vous sur ce petit vélo DIY et transformez vos efforts en électricité ! Il faudra tout de même être plutôt sportif pour alimenter son logement : en pédalant 3 jours vous aurez accumulé l’équivalent d'1h30 de cuisson, 5 jours pour un jour de lumière et 66 jours pour un jour de chauffage… 

    Le vélo générateur. (Crédit : Low Tech Lab)

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  • association pour l'habitat léger et les low-tec en Suisse habitat-leger.ch

    une société coopérative d'habitation dans le Chablais www.cohacha.ch

    le Clos du Doubs dans le Jura

    la Communauté Herzfeld Sennrüti à Degersheim

    la communauté de Castle Glarisegg au bord du Lac de Constance

    Schweibenalp dans l'Oberland Bernois

    la smala à Grandvaux


    Annuaire des écolieux en France

    Carte des oasis en France

    Findhorn en Ecosse

    Damanhur en Italie

    Auroville en Inde

    Ithaca dans l'Etat de New-York - vidéo

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  • Y aura-t-il assez de bois pour l'hiverAu Canada, dans le Grand Nord, un bûcheron coupe son bois pour l'hiver. Après deux journées de coupe, et plusieurs stères transportées, il en vient à se demander si sa provision de bûches sera suffisante.

    Les hivers sont très froids, dans la région. Il va donc voir un vieux chef indien, un peu déplumé, pour savoir si l'hiver sera rigoureux. Il pose sa question, et le chef lui dit:

    - Ugh ! Hiver sera rude.

    Alors le bûcheron retourne couper du bois, encore et encore. Au bout de quelques jours de durs labeurs, il retourne voir le vieux chef et lui repose sa question. Et le chef répond:

    - Ugh ! Hiver sera rude, très rude !

    Alors le bûcheron retourne bucheronner. Pendant quinze jours. Puis il retourne voir l'indien. Qui lui dit:

    - Ugh ! Hiver sera rude, très très très rude !

    Alors le bûcheron demande au chef:

    - Mais, Grand Chef, comment peux-tu savoir cela ?

    Et l'indien répond:

    - Quand homme blanc couper beaucoup de bois, c'est que l'hiver sera rude !

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  • Dans ce sixième épisode de la saison 2 d’Aujourd’hui, l’écologiste Marc Muller et l’animateur Jonas Schneiter emmènent Thierry d’Yverdon sur les routes romandes.

    A bord de leur bus qui fonctionne à l’énergie solaire, ils vont montrer à ce prof d’auto-école quelles sont les toutes nouvelles manières de se déplacer. Mobilité électrique, voiture partagée, station-service à l’hydrogène et dernières innovations des transports publics, on y apprend que la Suisse innove fortement dans ce domaine crucial !

    Location (loueurs - utilisateurs) de voitures entre particuliers en Suisse : www.2em.ch

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  • Et si ce qui était écolo au boulot était aussi plus sain, motivant et confortable ? Dans ce cinquième épisode de la saison 2 d’Aujourd’hui, l’écologiste Marc Muller et l’animateur Jonas Schneiter emmènent la psychologue Katia Sauthier de Lutry sur les routes romandes.

    A bord de leur bus qui fonctionne à l’énergie solaire, ils vont montrer à cette experte du burnout quelles sont les nouvelles manières de travailler plus en phase avec le développement durable.

    Wikipédia : L'holacratie (holacracy en anglais) est un système d'organisation de la gouvernance, fondé sur la mise en œuvre formalisée de l’intelligence collective. Opérationnellement, elle permet de disséminer les mécanismes de prise de décision au travers d'une organisation fractale d'équipes auto-organisées. Elle se distingue donc nettement des modèles pyramidaux top-down1. L'holacratie a été adoptée par plusieurs organisations (aux États-Unis, en France, en Grande-Bretagne, en Allemagne, en Nouvelle-Zélande). Elle est fréquemment comparée à la sociocratie2, bien que des différences significatives existent entre les deux approches.

    La Brouette – Épicerie Durable – Av. d'Echallens 79 – Lausanne

    coworking-romand.ch

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  • Dans ce quatrième épisode de la saison 2 d’Aujourd’hui, l’écologiste Marc Muller et l’animateur Jonas Schneiter emmènent Nicolas d’Orbe sur les routes romandes. 

    A bord de leur bus qui fonctionne à l’énergie solaire, ils vont montrer à ce chef d’entreprise quelles sont les solutions les plus inspirantes et durables de Suisse concernant notre argent.

    Banque éthique - Deuxième pilier, investissement éthique - Le léman, monnaie locale de Genève

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  • Dans ce troisième épisode de la saison 2 d’Aujourd’hui, l’écologiste Marc Muller et l’animateur Jonas Schneiter emmènent Mélodie et Thomas de Lausanne sur les routes romandes. 

    A bord de leur bus qui fonctionne à l’énergie solaire, ils vont montrer à ces deux étudiants qui ont envie de changer le monde quelles sont les solutions d’agriculture les plus inspirantes et durables de Suisse.

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